Lorsqu'elle était en primaire, Caroline Solé tenait un journal intime. En grandissant, elle a trouvé le contenu un peu ennuyeux et a commencé à écrire des petites histoires (nouvelles). Elle a aimé la liberté donnée par l'invention d'aventures. Elle a attendu plus de dix ans pour éditer son premier roman.

Caroline Solé avait un métier autour des réseaux sociaux, et elle a découvert un article parlant de la Silicon Valley. Les enfants des géants du Net n'ont pas le droit d'utiliser ce que leurs parents produisent ! Ils sont dans des écoles sans écrans ! C'est ce qui l'a inspiré pour le roman "NEB", un jeu en ligne addictif. Le livre commence par un doute sur l'identité du personnage principal. La romancière préfère laisser le choix au lecteur. Et quand le père d'Alex l'envoie en stage linguistique en Angleterre, c'est pour qu'il y ait une rencontre avec un personnage de son autre roman "La pyramide des besoins humains". Elle a vendu 8000 exemplaires de NEB, et elle touche environ 1.50 euros par livre. 

Ce qu'elle préfère dans son métier, c'est de commencer un nouveau roman. Face à la page blanche, des centaines d'idées affluent. Elle préfère écrire à la main mais elle trouve que c'est plus pratique d'écrire à l'ordinateur. Elle a déjà terminé le manuscrit d'un nouveau livre, qui sera publié à la rentrée scolaire 2025.